mardi 13 mai 2014

La protection sociale à l’épreuve du « choc de simplification »


Dîner-débat sur les enjeux du "choc de simplification" pour les dispositifs de protection sociale


Avec la participation de :

- Bernard COHEN-HADAD, Président de la commission Financement des entreprises de la CGPME
- Pierre ROGER, Délégué National CFE-CGC à la Protection Sociale
- Philippe RENARD, Directeur de l'URSSAF Ile-de-France
- Pierre MAYEUR, Directeur de la Caisse nationale d’assurance vieillesse (CNAV)
- Gérard QUEVILLON, Président du Régime social des indépendants (RSI)
- Philippe ARRAOU, Vice-président du Conseil National de l’Ordre des Experts Comptables

Le « choc de simplification », grand chantier lancé par le Chef de l’Etat en 2013, porte en germe la nécessité de renforcer la compétitivité et l’attractivité de l’économie française. Dans le domaine de la protection sociale, les premières mesures annoncées ont pour vocation de simplifier la vie des entreprises et leur interface avec l’administration, à l’image de la déclaration sociale nominative. En matière de santé, le programme de simplification répond à une double ambition, améliorer le service aux usagers et mieux structurer le fonctionnement des administrations et services sanitaires, médicaux-sociaux et sociaux.

Selon l’OCDE, les lourdeurs administratives coûteraient aujourd’hui à la France entre 60 et 80 milliards d’euros. Une prise de conscience collective est nécessaire, au sein de l’administration, des entreprises, des collectivités. Quelles sont les mesures qui participeraient à la simplification de notre modèle de protection sociale ? Au-delà de l’aspiration naturelle à la facilitation des démarches, quel peut être le réel impact de ces mesures ? La simplification administrative ne menace-t-elle pas la personnalisation de la prise en charge ?

Compte-rendu disponible sur demande.